lundi, avril 19, 2010

Franc-maçon = traître


Pierre-Louis Panet, député au premier parlement de 1792.
Il préconisa l'abandon de la langue française.
Il en fut récompensé en 1795 par sa nomination au poste de Juge de la Cour du Banc du Roi a Montréal.

Il était sourtout un membre notoire de la loge maçonnique des "Frères du Canada". Le tiers des effectif de cette loge était d'ailleur composé de membres de la famille Panet.

Pour témoigner du caractère loyaliste des membres des Frères du Canada, voici un extrait d'un discours prononcé en loge le 13 septembre 1785:

"il s'agit de célébrer annuellement l'heureuse arrivée, dans cette partie des domaines de Sa Majesté, du prince William Henri, ce prince chéri de sa nation, fils de Sa Majesté, notre Souverain régnant, de l'auguste maison de Brunswick, et de la visite qu'il daigna faire à notre société et y recevoir nos hommages, en y faisant une réponse de la manière la plus gracieuse..."

"Consacrons donc, Messieurs et frères, cette Journée à la Joie et au plaisir de nous voir réunis dans cette fête; occupons-nous du seul plaisir de vivre sous l'autorité du meilleur des rois; formons les voeux les plus sincères pour la prospérité de la Grande-Bretagne, ce grand et florissant état, et que la victoire l'accompagne dans toutes les guerres que ses ennemis pourront lui susciter. Que notre grand monarque, George III, son auguste épouse et sa famille, jouissent
d'une santé parfaite et que son règne soit long et heureux, etc., etc.."

Source La Patrie, 12 mai 1934

Note: une rue porte toujours son nom à Montréal.

3 Comments:

Blogger anti-macon said...

Le parti libéral de Rockefeller?


DOMINATION DU PETROLE AU CANADA (extraits)

Pendant toute la guerre de 1914-18 Mackenzie-King travailla à l'emploi de Rockefeller, aux Etats-Unis. Son occupation était celle de briseur de grèves, son salaire de $25,000 par année. Une grève de l'époque occasionna de sanglantes bagarres, au cours desquelles plusieurs ouvriers furent tués; une commission d'enquête du Congrès Américain, qui par la suite étudia cette affaire, conclut que Mackenzie-King, "par ses provocations, était le principal responsable de la mort de ces travailleurs."

LA FINANCE ELECTORALE

Dès la mort de Sir Wilfrid Laurier, Mackenzie-King revenait en vitesse au Canada. A son arrivée, muni de fonds considérables fournis, par les intérêts Rockefeller, il ne s'occupa que de la convention qui devait choisir un nouveau chef libéral national. Feu le sénateur Athanase David résumait facilement l'histoire de cette convention lorsqu'il disait: "L'hon. M. Fielding était naturellement l'homme désigné pour succéder à laurier; il avait les plus belles qualités politiques et personnelles pour un chef. Mais nous étions dans l'opposition depuis huit ans, et ce qui nous intéressait par-dessus tout, c'était de savoir qui pourrait obtenir la finance voulue pour subvenir aux besoins d'une prochaine élection générale. Nous partîmes de Québec avec l'idée bien arrêtée de voter pour Fielding; quand nous nous aperçûmes que King pouvait facilement trouver la finance, nous nous rangeâmes immédiatement derrière lui."
Devenu chef libéral canadien, Mackenzie-King resta en rapports constants avec Rockefeller, Deux fois par année, il allait passer une semaine avec lui aux Etats-Unis. A chaque conférence impériale, avant de s'embarquer pour l'Angleterre, il allait "se reposer" quelques jours chez Rockefeller. Avant chaque élection générale, de 15 à 20 jours avant la date du scrutin, le prix de la gazoline au Canada était augmenté d'au moins un cent le gallon (pour la durée d'environ six mois) tandis que la caisse électorale libérale regorgeait soudainement et comme par enchantement de sommes considérables pour corrompre l'électorat. Après que Mackenzie-King eut imposé M. St-Laurent comme successeur à une convention libérale, le nouveau chef a continué la "tradition" de petites visites d'amitié chez Rockefeller et, aux élections générales de 1949 et 1953, ô hasard, ô coïncidence! — le prix de la gazoline au Canada a encore été augmenté quinze, jours avant la date du scrutin.
Dans certaine hauts cercles américains, on appelle couramment le parti libéral canadien: "The Rockefeller party of Canada". De là à conclure "le gouvernement canadien de Rockfeller", Il n'y a qu'un pas; nous laissons à d'autres le soin de le franchir. On peut cependant supposer, suivant le vieux proverbe anglais que celui qui paie l'orchestre peut exiger la musique de son choix.

10:52 p.m.  
Blogger anti-macon said...

DOCUMENTS CLASSIFIES

Si dans notre pays, on court si vite à la dissolution de l'idée nationale et religieuse, si nos chefs politiques nous poussent si furieusement dans la voie du mondialisme et de l'internationalisme, du gouvernement mondial et de la république universelle, le financement de certaines factions politiques en fournirait peut-être l'explication. Car les politiciens ne sont pas ceux qui conduisent les affaires du pays; ils ne sont que les acteurs défilant sur la scène. Les vrais maîtres sont ceux qui composent la pièce, imaginent la mise en scène et font la réclame, c'est-à-dire: les financiers invisibles de la coulisse. A peine Mackenzie-King était-il enterré que la Fondation Rockefeller annonçait qu'elle avait voté une somme de $150,000 pour "classifier" les papiers, lettres, documents et filières du chef libéral disparu. Il fallait qu'il y en eut une accumulation considérable pour justifier la dépense d'une pareille somme. Et aussitôt des "classificateurs" désignés par une compagnie pétrolière américaine faisaient main basse sur toute la paperasse laissée par un chef politique et un premier ministre canadien. On nous, a annoncé, depuis, que le public et les historiens connaîtraient en temps approprié les documents qui peuvent leur être utiles, ou intéressants. Les autres documents, sans doute, ceux que nous ne connaîtrons
jamais, n'intéressent que les intérêts Rockfeller! Il est tout de même fantastique que M. St-Laurent et les autres sommités du parti libéral aient permis que des documents intéressant au plus haut point l'histoire du Canada, les idées directrices d'un homme qui a conduit le pays pendant plus d'un quart de siècle, restent à la merci d'un marchand de pétrole américain. Aucun autre pays au monde n'aurait permis une telle chose.

L'Unité Nationale, février 1954

10:53 p.m.  
Blogger anti-macon said...

Article de L'Unité Nationale, mars 1956 concernant l'affaire Coffin. Selon Jacques Hébert, celui là même qui a tant agité en faveur de Coffin, ce dernier aurait été pendu parce qu'il aurait été franc-maçon! Tout un avoeux quand on sait que Hébert a reçu sa médaille maçonnique en 1985 en même temps que René Lévesque.

Tezte intégral de l'unité Nationale:

"TIENS! TIENS!
Jacques Hébert à demandé dans son journal si c'est "parce qu'il était franc-maçon" que Coffin a été pendu. Cette divulgation révélatrice incite à demander si c'est pour la même raison que le gouvernement libéral d'Ottawa a fait tant de zèle insolite extraordinaire sans précédent, en faveur de Coffin. Etrange autant que bizarre !"

10:30 a.m.  

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